Establishing MPAs for spatial management in the Convention Area requires the preliminary development of a unified approach and unified criteria supported with adequate scientific information and should be enshrined in CCAMLR conservation measures. Relevant proposals are discussed.

The Ross Sea region MPA Research and Monitoring Plan in its current form requires serious revision, refinement and further discussion by the Scientific Committee and its working groups (WG-SAM, WG-FSA) ahead of its discussion by the Commission. Comments and proposals are presented regarding the revision and improvement of the research and monitoring plan.

En réponse aux commentaires formulés lors de la réunion 2019 du WG-EMM, des explications sont données sur la procédure consistant à calculer les captures par périodes de deux heures sur les navires norvégiens utilisant le système de chalutage en continu dans la pêcherie de krill. La procédure, utilisée désormais sur tous les navires, consiste à diviser en périodes de deux heures la capture journalière mesurée par la balance (flow scale) en utilisant une distribution des captures estimées par périodes de deux heures calculées à partir du volume et du poids de krill dans la cuve, accumulés successivement toutes les deux heures. La méthode fusionne les deux méthodes décrites dans la MC 21-03 (annexe 21-03/B), mais contient des éléments qui ne figurent pas déjà dans la mesure. Ce document apporte un complément d'explication et illustre les relevés journaliers conservés par les navires, qui, depuis juillet 2019, peuvent être étudiés par la CCAMLR.  Reconnaissant l'absence de clarté sur la procédure par le passé, il est proposé que le Comité scientifique envisage d'inclure une référence à la procédure et un texte descriptif dans la MC 21-03.

En 2016, la CCAMLR a adopté la mesure de conservation 91-05, portant création de l'aire marine protégée de la région de la mer de Ross (AMPRMR). Alors que l'AMPRMR est entrée en vigueur le 1^er décembre 2017, la CCAMLR n'a toujours pas mis en place de plan de recherche et de suivi (PRS) adopté à son égard, ce qui aurait un impact sur la réalisation des objectifs de l'AMP. Cette question a fait l'objet de multiples discussions ces deux dernières années, et des points de vue divergents ont été exprimés. Les observations et commentaires suivants sont présentés pour contribuer à la mise au point du projet de PRS de l'AMPRMR.

En 2018, la Chine a soumis son premier document de travail (CCAMLR-XXXVII/32) à la CCAMLR sur le développement des plans de recherche et de suivi d'AMP de la CCAMLR, qui a attiré de nombreux commentaires et suggestions. Afin de contribuer encore aux discussions à ce sujet, la Chine a révisé le document du point de vue scientifique, tenant sérieusement compte des commentaires reçus l'année dernière.

Le groupe de correspondance de la période d'intersession sur le renforcement des capacités des membres de la CCAMLR (ICG-CB) s'est réuni par correspondance en 2019 sous la direction de l'Afrique du Sud. Son objectif premier était de coordonner un atelier de renforcement des capacités qui s'est tenu au Cap, en Afrique du Sud, en avril 2019 et de mener à bien le mandat qui avait été convenu lors de la XXXVII^e réunion de la CCAMLR. L'ICG a élaboré des propositions relatives aux objectifs des activités de renforcement des capacités, recommandé à la Commission d'établir un fonds de renforcement des capacités générales et proposé des mécanismes administratifs pour son fonctionnement (voir CCAMLR-38/BG/19).

Le contrôle des filets au cours des opérations de chalutage sur le krill est nécessaire pour l'industrie et bénéfique pour la CCAMLR au niveau scientifique. Actuellement, il n'existe pas d'alternative viable à une connexion câblée entre les capteurs du navire et du chalut. Les navires norvégiens de pêche au krill en continu utilisent une connexion câblée configurée de sorte que le câble du chalut et le câble du filet sont assemblés parallèlement l'un à coté de l'autre. Cette solution a désormais également été mise en œuvre sur le FV Saga Sea, car les nombreux essais réalisés en 2017/18 sur d'autres systèmes n'ont pas convaincu. Le vaste suivi des interactions avec les oiseaux rapporté par les observateurs semble indiquer que cette configuration est compatible avec les principaux objectifs de la MC 25-03, c.-à-d. de réduire, chez les oiseaux et mammifères marins, la mortalité accidentelle ou les blessures dues aux opérations de chalutage.

Ce document répond à une recommandation du WG-EMM formulée en 2019 et décrit la façon dont est actuellement mis en œuvre le contrôle des filets. Il fait également un résumé des expérimentations effectuées à bord du FV Saga Sea.

Étant donné la nécessité et l'utilité reconnues des dispositifs de contrôle des filets et compte tenu de la communication câblée dont on ne peut se passer sur le plan technique, la Norvège demande au Comité scientifique d'envisager de modifier l'article 1 de la MC 25-03 afin d'autoriser l'utilisation de câbles de contrôle des filets qui ne menacent pas les objectifs de réduction chez les oiseaux marins de la mortalité accidentelle ou des blessures.

Les observateurs continuent de surveiller les interactions avec les oiseaux à bord des navires norvégiens et les données pertinentes sont relevées dans leurs comptes rendus. Le projet d'amendement du texte de l'article 1 de la MC 25-03 est le suivant : « L'utilisation des câbles de contrôle des filets sur les navires, dans la zone de la Convention de la CCAMLR, est interdite à moins qu'il ne soit démontré que la connexion câblée entre le chalut et le navire est assemblée de manière à ce que soient réduites au maximum les interactions avec les oiseaux de mer entraînant la mortalité ou des blessures »

Ce document examine le processus de communication des documents, propose des améliorations et une nouvelle procédure et sollicite l'approbation de la Commission sur ces questions.

Bref compte rendu d'un atelier tenu du 10 au 14 juin 2019 au Pôle Nautique de la Croix et au Muséum national d'Histoire naturelle de Concarneau (juste avant les réunions annuelles du WG-SAM et du WG-EMM). L'atelier a réuni des représentants de l'ARK, de l'ASOC, de Pew et du WWF et des scientifiques de l'Allemagne, de l'Argentine, de l'Australie, du Chili, de la Corée, des États-Unis, de la France, de la Norvège, du Royaume-Uni et de l'Ukraine. Le financement de l'atelier était assuré par l'ARK, Pew et le WWF.